TRANSFORMER L’ATELIER POUR OPTIMISER LA PRODUCTION
Dans l’atelier, le papier est omniprésent pour :
1. Piloter : de nombreux documents sont imprimés depuis l’ERP et d’autres systèmes pour être distribués dans l’atelier : bon de travail, documentation technique, dossier d’OF.
2. Suivre : les opérateurs déclarent manuellement leur production sur des documents : relevés de temps, de quantité, fiches de qualité, fiches d’incidents, causes des arrêts, déclaration de consommation. Pourtant, les opérateurs sont payés pour produire, non pas pour faire des tâches administratives à non-valeur ajoutée.
3. Animer : les managers ont besoin de données pour animer leurs réunions d’équipe notamment lors des point AIC. Pour cela, il faut collecter les fiches papiers, les consolider souvent sous Excel, pour calculer les indicateurs clés de productivité et de performance. Puis il faut reporter toutes ces informations sur les tableaux flash d’animation. Collecte, consolidation manuelle, calcul… autant de tâches supplémentaires pour les équipes qui n’apportent pas de valeur.
4. Gérer : la plupart de ces données doivent être ressaisie dans l’ERP, pour clore les OF notamment, suivre les stocks… On étudie les temps passés, les consommations, les quantités produites, les résultats… Toutes des actions manuelles qui consomment beaucoup de temps et peuvent être remplacées.
Avec le logiciel MES, les échanges sont fluidifiés en temps réel : pourquoi ?
Il distribue les données de gestion dans l’atelier depuis l’ERP. Il collecte les informations du terrain (produits, rebuts, qualification des arrêts…) par connexion directe aux équipements et par des terminaux fixes ou mobiles auprès des opérateurs.
Bref, le MES simplifie le travail des tous les acteurs de la production.
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